Effeuillage nocturne

Ce soir, RDV dans ton bureau à l'heure où tu es seule. Tu ne m'as fixé qu'une seule règle : « Pas touche ! »
Je me présente devant toi, tu es assise dans ton fauteuil, les jambes croisées laissant ainsi apparaître tes longues et superbes jambes, ta jupe fendue dévoilant tes bas et la légère dentelle en haut de ceux-ci. Tu me regardes et me fixes de ton regard malicieux et envieux le pouce entre tes dents comme en attente de ce qui va se passer.
Je suis habillé d’un costume noir rayé italien à la veste cintrée et au pantalon affuté moulant délicatement mes petites fesses. Des chaussures Kenzo, bien cirées, une chemise blanche manches mousquetaires maintenues par de délicats boutons de manchette en forme de carré, brillant, style très masculin genre Hugo Boss. Une petite cravate noire fermant mon col.
Je m’approche d’une démarche ample et souple, une main dans ma poche genre gravure de mode. Je m’arrête à 1 mètre de toi. Je te fixe les yeux d’un regard coquin, sûr et déterminé. Je commence à me balancer le corps doucement d’abord ma tête, mes épaules puis doucement mon bassin. J’ondule doucement devant toi, sans jamais te quitter du regard. Là je viens délicatement desserrer ma cravate ; je dénoue le nœud, puis la tire. Je lui fais faire quelques petits tours pour te la lancer au milieu de ta poitrine. Tu t’empares d’elle et la sens pour t’ennivrer de l’odeur de mon parfum.
Je continue en retirant à moitié ma veste, je découvre mes épaules mais m’arrête au niveau des bras comme pour te faire attendre un peu :) puis je viens défaire les trois boutons du haut de ma chemise laissant apparaître mon torse imberbe et d’une douceur que tu sais redoutable. Je me retourne, dos a toi et je laisse tomber la veste.
Puis restant dos à toi, je me penche complètement te laissant admirer mes fesses et en profite pour défaire mes chaussures et mes chaussettes. Je me redresse ensuite et là tu entends le bruit de ma ceinture que je défais. La faisant glisser tout autour de ma taille doucement en continuant mes ondulations de bassin. Là, tu entends le bruit de ma braguette, je dégrafe le bouton de mon pantalon et le laisse glisser très délicatement. Ceci est si délicat que tu perçois la douceur du tissu caressant mes fesses puis mes jambes en laissant échoir mon pantalon.
A ce moment, je suis dos à toi mais t’imagine le cœur battant, les tempes légèrement bourdonnantes, je te sens flotter dans l’air comme une plume sur une brise légère. Tu me regardes, me scrutes en détail et tu cherches bien entendu à savoir quel genre de sous-vêtement j’ai préparé pour toi. Me fixant les fesses, tu ne distingue pas très bien encore à cause de ma chemise. Mais cela ne dure pas bien longtemps car je me retourne doucement toujours en ondulant et faisant de très légers petits ronds avec mes hanches. Mes yeux te fixent et lorsque nos regards se croisent tu devines des braises pétiller au plus profond de mes pupilles. Je prends alors doucement le temps de te fixer pendant 3 secondes qui te paraisses une éternité puis je ferme les yeux, bascule ma tête en arrière et commence à me caresser le torse sous ma chemise, cela dure un petit moment et j’entends alors les talons de tes chaussures sur le sols m’indiquant que tu viens de décroiser, recroiser les jambes. Mon esprit ne fait alors qu’un tour et je sens que le spectacle doit commencer à t’émoustiller.
Les yeux toujours fermés comme pour te dire « regarde et prend plaisir car nul ne te regarde », je continue à déboutonner ma chemise, la laissant tomber ensuite à mes genoux. Tu peux alors enfin voir mon boxer noir et légèrement transparent aux motifs camouflage. Laissant discrètement deviner la forme de mon sexe déjà bien volumineux et un peu à l’étroit.
A ce moment, le fait d’être aussi proche de toi te donne l’envie de me caresser mais les règles était fixées dès le début et cela est interdit donc tu te frênes et te mord les lèvres comme pour me signifier ton envie. Je me retourne alors encore continuant mon déhanchement et commence à abaisser mon boxer jusqu’à mi-fesse. Tu n’en peux plus et je le sais tu mouilles car tu viens de décroiser pour de bon tes jambes les laissant légèrement écartées. Après avoir fais une petite pause en faisant glisser mes doigts tout autour de mon boxer entre l’élastique et ma peau de bébé ; je continue à faire descendre celui-ci jusqu'à mes pieds. Je le retire et le garde en main. Tu ne peux encore savoir car je suis dos à toi mais déjà je bande très fort tant le plaisir de faire plaisir me prends. Alors je prends mon boxer et viens l’accrocher à mon sexe cachant celui-ci. Puis délicatement je me retourne et te fait un malicieux sourire les yeux brillant d’envie et répondant à ton regard tout aussi envieux.
Puis, brisant le silence de ce spectacle riche en émotion, je te dis « retire le avec tes dents… », tu souris en coin et hoche la tête doucement pour me signifier ton accord et ton désir. Tu écartes légèrement les jambes, je m’approche de toi et entre dans cet espace laissé par tes jambes, je m’arrête à 20cm de toi.
Alors tu te redresses et viens délicatement te pencher sur ce monticule dressé devant toi. J’entends tes lèvres alors s’ouvrir et tu viens apposer tes dents pour croquer un bout de tissus et délicatement tu te redresses. Sans en perdre une miette, tu découvres mon sexe, droit, lisse, tendus, gonfler d’envie et certainement chaud de désir. Ce bel organe devant toi te parait délicieux et te fait tremper. Le désir est si fort en toi de t’en servir… C’est alors que tu prends quelque minutes à me contempler de haut en bas et me demandant de tourner doucement sur moi-même.
Après plusieurs minutes à m’exécuter à tes demandes, tu te lèves de ton fauteuil, et gardant mon boxer en souvenir tu me regardes droit dans les yeux et me dis « Tu peux te rhabiller, mais ton boxer est mien maintenant ! »

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